12 octobre 2012

Envie de saison

Chaque saison porte son lot d'inspirations...


L'Automne

Peut-être est-ce parce que les jours raccourcissent, que les températures se font de plus en plus timides, que les feuilles commencent à rougir, que l'été nous semble déjà bien trop loin, mais l'automne m'inspire une envie de chaleur ? 
De m'emmitoufler dans une couette douillette, de déguster et découvrir de nouveaux thés, de faire des soupes de toutes les couleurs, d'offrir à mes pieds qui ont passé l'été nus de gros chaussons bien épais et tout doux, mais surtout de ressortir mes aiguilles à tricoter. Je les ai délaissé je l'avoue à la fin du printemps, suivant les sirènes du soleil et préférant alors vivre dehors et me mettre en mode en farniente. Mais aujourd'hui, j'ai envie de les retrouver, de penser à ce que nous pourrions faire à nouveau ensemble, de choisir de jolis fils et d'oublier ma journée au milieu de mes mailles.
Oui, c'est décidé ce soir je me remets à tricoter...
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11 octobre 2012

Du haut de ma Dune

La Dune du Pyla, cet endroit magique, unique qui domine fièrement le Bassin d'Arcachon. Je m'y étais toujours rendu de jour, mêlée au flot des touristes continuel, anonyme parmi la foule d'admirateurs de cette grande dame de sable. Il y a quelques semaines, nous avons échoué à ses pieds, trouvant refuge dans un tout petit camping blotti auprès d'elle, presque par hasard. Auprès d'elle, je me sentais bien, toute petite mais étrangement bien. Pas impressionnée mais attirée. Ce jour-là, j'y suis montée juste pour le plaisir, attendant les heures plus calmes où la belle est désertée alors même qu'en compagnie du ciel, elle donne le plus splendide des spectacles. A cette heure du jour, je me suis retrouvée presque seule au milieu de ce désert majestueux. Je me suis assise et je l'ai juste admirer parée de ses plus belles couleurs...
Ma Dune je reviendrais te voir, et je sais que je ne retrouverais jamais tout à fait la même mais toujours aussi exceptionnelle...









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10 octobre 2012

On ne dit jamais assez aux gens qu'on aime qu'on les aime

J'aime cette phrase. Elle sonne juste, elle sonne vraie, elle nous ramène à la fatalité du temps qui va passer, à la date butoir où il ne sera plus possible de le dire, aux éventuels regrets de n'avoir pas prononcer ces mots magiques.


Hier soir, mon homme et son meilleur ami sont entrés en pleine discussion à coeur ouvert sur l'amour parental. Bien sérieux pour une soirée pizza mais intéressant car ces 2 hommes, bien que meilleurs amis, ont une vie opposée : l'un jeune papa, posé, en couple avec son amour du lycée, qui ne rêve que d'une chose voir sa famille s'agrandir, l'autre fringuant célibataire, aimant les femmes mais ne pouvant se contenter d'une seule, butinant dans le grand jardin de la vie, en espérant un jour tomber sur la fleur unique qui lui donnera envie de se poser. Au final, ces 2 hommes, qui n'ont pas reçu la même éducation, qui ne sont pas issus d'un même milieu, partagaient pourtant ce même manque de ne pas avoir assez entendu de leurs parents et surtout de leurs pères, les fameux mots d'amour dont nous sommes tous un peu en quête. Bien que n'ayant jamais vraiment manqué d'affection, tous deux faisaient le constat amer de ne pas compter parmi leurs souvenirs un "je t'aime", entrainant alors en eux une difficulté à leur dire de leur propre initiative. On sentait en eux un certain regret, du haut de leur 30 ans, de ne pas l'avoir entendu, de ne pas l'avoir dit, et voir ces deux grands gaillards avoir cette réflexion m'a un peu ému. Bon je vous rassure la soirée a fini en jeux vidéo où ils ont passé leur frustration dans la chasse aux zombis, mais moi en tant que femme je ne pouvais en rester là et mon cerveau s'est alors mis à disserter tout seul dans son coin.

Pour moi dire "je t'aime" à mes parents est difficile, car il y a entre nous trop de pudeur. On parle peu de sentiments à la maison, c'est comme ça. Il faut dire que les parents de mes parents ne leur ont peut-être jamais dit, c'était un autre temps, d'autres moeurs, alors comment voulez-vous qu'ils trouvent à leur tour les mots dont ils ont manqué dans leur enfance ? L'amour n'a parfois pas besoin de se dire, il se lit dans une multitude de signes, de regards, de gestes, de tout. Lors d'évènement difficiles, on s'est déjà dit ces mots, au moins on ne pourra pas parler de regrets, mais au fond était-ce si important de les entendre ? Est-ce une fin en soi ? Une certitude je n'ai jamais manqué d'amour, je l'ai ressenti, je le ressens toujours, il est là silencieux mais bien vivant. Alors pourquoi vouloir faire voler en éclats cette pudeur qui font de mes parents ce qu'ils sont ?
Avec ma fille ce sera différent je le sais, car le lui dire, lui sussurer dans l'oreille, lui glisser juste avant son sommeil, lui répéter à chaque séparation est un véritable besoin. Là encore autre temps, autre moeurs. Aujourd'hui nos sentiments nous font peut-être moins peur qu'à nos aînés. Mais attention, je prends garde, derrière ce flot de paroles, à garder l'essentiel, l'amour en lui-même. Ce n'est pas parce que cela sera dit, qu'il faudra faire l'impasse sur toutes ces petites choses dans lesquels l'amour est parfois plus présent que dans de simples mots.

On ne dit jamais assez aux gens qu'on aime qu'on les aime. C'est vrai. Ces quelques mots font un bien fous alors pourquoi s'en priver ? Evitons les regrets et n'ayons plus peur de les prononcer. Mais le plus beau ne reste-t-il pas de sentir cet amour, de le voir de nos propres yeux plutôt que de se contenter de nos oreilles ?
Et chez vous l'amour se dit-il facilement ? 
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8 octobre 2012

From France with Love ♥

Il y a quelques semaines je vous parlais ici même d'une de mes meilleures amies aujourd'hui expatriée à Hong Kong. Devenue maman il y a tout juste quelques mois d'une adorable petite fille malheureusement touchée par des soucis de santé, je parlais à ce moment-là de la difficulté d'être si loin d'elle en ces temps difficiles pour son tout jeune petit coeur de maman. A l'époque où j'ai écrit ces mots, j'étais pleine d'espoir et je pensais peut-être naïvement que le plus dur était derrière eux et que les nuages allaient enfin se dissiper de leur ciel pour leur laisser un soleil radieux et un bonheur sans faille, en gros je voulais croire au pays des bisounours où leur magnifique bébé serait heureux d'évoluer. Mais la vie est souvent loin des contes de fées, et malheureusement leur ciel n'a pas décidé de s'éclaircir pour le moment. Je n'avais pas de ses nouvelles depuis presqu'un mois, mais là encore naïvement je m'étais imaginé que c'était peut-être la reprise du boulot ou tout simplement le temps à rattraper avec son petit bout qui l'occupait, mais je ne pouvais m'empêcher d'avoir une boule dans le ventre en pensant à elle, craignant malgré tout le pire.
Ce matin, sa maman m'a téléphoné, et ne m'a heureusement pas annoncé le pire, mais m'a expliqué en quelques mots la gravité de la situation et le cauchemar éveillé que vivait mon amie là-bas, à l'autre bout du monde. Il y eût d'abord un silence, un moment d'hébétude où j'essaie de comprendre réellement ce qui est dit, de prendre conscience de la réalité des choses. Son bébé va mal, très mal, il n'y a rien d'autres à ajouter. Je ne comprends pas bien les détails mais je sens juste la douleur, la douleur de cette mère impuissante face à la peine de sa fille, la douleur de mon amie impuissante face à l'état de son enfant, et je la sens soudain montait la mienne, cette boule que j'avais dans le ventre, qui me transperce alors de part en part, ma propre douleur face à la détresse de cette famille, face au silence meurtri de mon amie, face au bonheur gâché de ce couple, face au début de vie rempli d'embûches de cette petite fille. J'ai envie d'hurler mais je ne le fais pas, je ne trouve pas les mots, je ne sais pas quoi dire, je ne sais plus quoi penser. Les larmes commencent à couler, sa mère et moi pleurons à l'unisson. Finalement, je n'arrive à dire qu'une seule chose, "c'est horrible, c'est injuste" car ça l'est, bien évidement. Comment accepter que ceux que nous aimons aient à traverser de pareille tempête ? Comment accepter qu'une petite fille de 4 mois et demi aie plus connu les hôpitaux que son propre foyer ? Comment accepter que la vie soit aussi cruelle avec des personnes qui nous sont si chères ? Comment accepter que son amie soit privée du bonheur simple d'être maman ? 
Nous avons raccroché en nous promettant, moi de lui rendre visite au plus tôt, elle de dire à sa fille que je l'aime. Nous nous sommes quittées les yeux encore humides, la gorge encore serrée. Je me suis alors retournée et j'ai vu ma fille, insouciante en train de mettre un joyeux bazar dans sa chambre, et je me suis soudain sentie bête. Sentie bête de m'énerver pour des futilités, de me mettre la pression pour rien, de parfois ne pas me rendre compte à sa juste valeur de la chance que j'ai de pouvoir profiter de ce bonheur simple d'avoir ma fille en bonne santé à mes côtés, de parfois me plaindre d'avoir cette jolie emmerdeuse constamment dans mes pattes, de n'avoir que de légers passages nuageux dans ma vie tandis que certains sont sous la foudre, je me suis sentie nulle de me laisser parasiter la vie par des détails sans grande importance, et de ne pas assez profiter d'elle elle qui est si fragile. Je me suis surtout une nouvelle fois sentie démunie devant cette distance géographique, devant cette impossibilité à être aux côtés de mon amie physiquement, de ne pas pouvoir lui prendre la main. Alors une nouvelle fois je ne peux être là que par la pensée, que par ces mots tapés sur mon clavier, que par les battements de mon coeur qui s'envolent vers elles, leur apporter tout notre amour, toute notre force pour qu'elles continuent de se battre. Etre là avec elles malgré tout.

Source

Quant à toi Inès, ma chérie, tu es si jeune et ta vie est déjà si difficile alors qu'elle ne devrait être que douceur. Ma puce, bats-toi, je te promets que ça en vaut la peine et que la vie est belle derrière les murs froids de cet hôpital. Il te reste le monde à découvrir et à conquérir, il n'attends plus que toi. Alors sois forte et nourris toi de tout l'amour qui t'entoure. Bats toi pour toi, pour tes parents, pour nous, pour la vie. Je t'aime. From France with Love your Auntie Buddy. ♥
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Bilbao ♥ El Guggenheim


Passant nos vacances dans le pays basque français, il était pour nous évident,  incontournable, obligatoire de s'offrir une escapade en terre espagnole. Et au-delà de déguster des tapas, d'essayer de se souvenir de nos lointains cours d'espagnol, et de faire un p'tit tour chez Zara et autres enseignes ibériques, nous rêvions de découvrir Bilbao et son célébrissime Musée Guggenheim. 

Ce Musée m'a toujours attiré et intrigué de par sa folle architecture, oeuvre de Franck Gehry, dont j'avais déjà pu apprécier le travail lors de mon passage à Los Angeles il y a quelques années (oui je sais je me la pète !). Non sans rire moi qui adore l'architecture, tout en n'y connaissant pas grand chose, j'ai une nouvelle fois était stupéfaite par ce bâtiment étrange et séduisant, se dressant fièrement au coeur de la ville, tout en s'y fondant avec un naturel déroutant. Bref vous l'avez compris j'ai adoré et en suis tombé amoureuse. Et le plus beau c'est que l'intérieur est aussi original dans ses courbes et sa construction que l'extérieur. Rien que pour admirer le travail de Gehry, ça vaut le coup de passer les portes du musée. Ajoutez à cela une expo sur David Hockney, dont j'ai adoré les couleurs et la philosophie, et l'exposition d'une oeuvre gigantesque de Richard Serra, dans laquelle nous avons pris beaucoup de plaisir à déambuler afin d'en découvrir toute l'ampleur, et vous obtenez des touristes heureux de jouer les touristes et d'avoir fait la route jusqu'à ce petit paradis artistique.

Petite visite guidée en images...





Prenez le temps de vous promener le long des berges de la Nervion, parce que 1) c'est agréable, et 2) vous y ferez d'étranges et belles rencontres, comme par exemple avec la superbe araignée de l’artiste française Louise Bourgeois.





Devant l'entrée le Puppy tout fleuri de Jeff Koons monte la garde.






Sur une des terrasses du musée vous attends les Tulipes, une nouvelle fois de Jeff Koons. 
Une véritable bouffée de couleurs dans tout cet univers gris et acier.






Enfin prenez le temps de vous éloigner un peu, histoire de prendre toute la mesure de ce bâtiment monumental et d'en apprécier une nouvelle fois les courbes particulières.




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6 octobre 2012

Quand les nouveautés ne le sont pas vraiment...

Cette semaine dans la catégorie "nouvelle tendance phénomène culturelle", j'ai beaucoup entendu parler de cette maman japonaise, Mami Koide qui s'amuse à mettre en scène et en image son bébé pendant que celui-ci est tranquillement installé dans les bras de Morphée. Reportages, articles, déferlement de fans et d'enthousiasme, appelé Nezo Art c'est le nouveau phénomène japonais que tout le monde encense. Certes. Mais quand je lis les aventures de cette maman japonaise, dont je ne remet pas en doute le talent ni l'inspiration, mon cerveau ne peut s'empêcher de refaire le tour du monde pour se poser en Finlande, où vit une jeune maman du nom d'Adele Enersen, qui connut cette même agitation pour ce même travail il y a tout juste 2 ans. J'en avais d'ailleurs parlé à l'époque sur mon blog. Là pour le coup c'était vraiment nouveau, enthousiasmant, et alors tout juste maman de ma petite fille, ce voyage onirique aux pays des touts petits dormeurs m'avait littéralement fait fondre. Alors rendons à César ce qui est à César, tout en applaudissant ceux qui s'en inspirent. Adele Enersen a d'ailleurs réagi avec une pointe d'ironie sur son blog à la naissance de cet art "nouveau". Mais la preuve du succès et du talent n'est-il pas d'être copié ?... 
Je vous laisse méditer là-dessus et aussi vous délecter de ces petits rêveurs qui sont les véritables héros de ces phénomènes et qui restent, plagiat ou pas, absolument adorables...

Mami Koide mettant en scène sa petite Nuno








Adele Enersen mettant en scène sa petite Mila









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5 octobre 2012

Choisir ses batailles pour gagner la guerre

Fini le temps serein où notre unique souci était de satisfaire bébé, de nous délecter de ses jolis sourires de satisfaction et de bonheur, de nous noyer dans son regard plein d'amour, et de sentir nos coeurs faire boum à chacun de ces gazouillis. Bébé a grandi, sans que l'on s'en rende vraiment compte, nous offrant désormais caché sous ce petit corps et cette bouille toujours aussi à croquer un petit être en devenir, un enfant, un futur adulte. Ok je vais peut-être vite en besogne, mais rapidement après ce doux rêve éveillé que sont les premiers mois de vie, nous parents devons nous réveiller et nous mettre réellement au boulot, car être parents c'est avant tout être responsables de ce que ce petit bout va devenir. Désormais au delà de tout l'amour, de toutes les papouilles, et de toute la tendresse que nous avons à lui offrir, il nous faut retrousser nos manches et l'éduquer.

Eduquer, je n'aime pas ce mot, on dirait que je parle d'un animal de compagnie, et pourtant c'est bien de cela dont il s'agit. Lui donner les bases, les clés, lui transmettre les valeurs qui nous sont chères, lui apprendre les limites, l'autorité, et lui faire comprendre ce qui est bien et mal. "Oh la pression !... Mais comment ça, le boulot de parents c'est pas que faire des guilis et nourrir à peu près correctement la bête ??? (Avouez que ce serait super chouette)."

L'éducation j'y pense depuis que ma fille est née. Dès les premières minutes, je me suis sentie investie de la mission d'en faire une belle personne, en gros je me suis immédiatement mis une énorme pression sur les épaules. Non pas que je rêve d'un enfant parfait, la jupe toujours impeccablement plissée, la chemise toujours d'un blanc immaculé, la raie toujours droitement tracée. Non je rêve juste de l'aider à devenir, comme dirait la chanson, juste quelqu'un de bien, ce qui serait déjà une grande victoire pour mon petit coeur de maman. Une fois ma mission éclaircie, ma première grande décision a été de choisir de laisser mon enfant être un enfant, de la laisser faire des bêtises dans la limite du raisonnable et tant que sa sécurité n'est pas engagée. Faire des enfants parfaits est une chimère ou alors nécessite un épuisement parental auquel je me refuse. Ca tombe bien je ne compte pas être un parent parfait. La guerre de l'éducation est déjà énorme, alors si en plus on veut être sur tous les fronts, et obtenir une victoire totale, c'est l'aliénation et la dictature garanties, et ça je m'y refuse. Une chose est certaine la guerre n'est pas une partie de plaisir, il y aura parfois des cris, des pleurs, des punitions, et il nous faudra une sacrée dose de ténacité, de volonté, de courage, d'autorité, de compréhension, de patience et surtout d'amour pour aller jusqu'au bout. Mais cette guerre n'est pas vaine, elle est essentielle, et même si parfois nous aurons envie de capituler il nous faudra nous raccrocher à nos idéaux et à ce que pourquoi nous avons commencer les hostilités. 

Face à mon nouvel ennemi chéri, j'ai choisi d'établir un plan de bataille simple, préférant me concentrer sur des points stratégiques, vitaux, non négociables. Le reste se fera sur le tas selon l'état des forces ennemis et des embuscades qu'elle nous préparera dans l'avenir. Cette guerre sera de longue haleine, et j'espère qu'elle se fera avec le moins de pertes possibles et en gardant toujours le contact et le dialogue avec l'adversaire. Au fond de moi, je le sais, sommeille une incorrigible pacifiste qui aurait tendance à tout négocier à coups de bisous et de câlins, mais je vais devoir me montrer forte, garder le cap, et tout en nous offrant de temps en temps de douces trêves...

La guerre est déclarée.
Et chez vous ?

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Biarritz ♥ Sea, Surf and Sun


Il me semble encore sentir ce petit goût salé sur mes lèvres qui ne vous quitte pas quand vous y êtes. Il me semble encore entendre le fracas des vagues sur ses côtes déchirées. Il me semble encore possible de croiser au détour d'un carrefour un homme planche de surf sous le bras. Et pourtant je dois me rendre à l'évidence, il y a déjà 2 semaines que ma parenthèse basque a pris fin, que je suis rentrée de cette douce pause si bienfaisante. J'en ai ramené du sable dans mes chaussures, une cool attitude que je tente d'entretenir malgré la reprise de ma petite routine, une soif de nature, des centaines de photos, et surtout de beaux souvenirs.

J'ai adoré Biarritz, son chic et sa nonchalance, sa belle architecture et sa nature si sauvage, son élégance certaine et sa surf attitude qui donne des envies de vivre un instant en mode Point Break. Je m'y suis sentie bien, j'y ai rechargé mes batteries, j'y ai arpenté ses longues plages main dans la main avec les deux amours de ma vie. Biarritz, je n'ai pas envie de te dire au revoir mais plutôt à bientôt...











Visite au Musée de la Mer






















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