Prenez par exemple, la cohabitation avec un petit chat en apparence tout à fait normal et attendrissant bien qu'accusant une certaine surcharge pondérale... A priori, rien de bien méchant. Enfin ça c'est sans compter sur les ressources inouies de ce petit être pour vous rendre complètement folle et gâcher votre vie voire votre nuit...
Oui, ne vous fiez pas à son petit minois cromignon, mais votre animal peut en quelques secondes devenir votre pire ennemi... J'ai vécu cette triste expérience pas plus tard que la nuit dernière, nuit que Stitch a choisi pour débouler dans notre chambre d'amoureux par la fenêtre (dernière ouverture laissée par nos soins pour cause de chaleur étouffante, 1 autre petit désagrément de l'été), pour sauter sur notre lit et nous faire part de ses plus beaux miaulements, le tout à la modique heure de 1h du mat'. Charmant, n'est-ce pas?! J'ai alors eu un petit aperçu de ce qui risquait de se produire quand Chérichou et moi aurions un petit être hurleur et diurne : Chérichou ne bougeant pas le petit doigt, et moi me débattant comme je pouvais dans le noir afin de calmer notre petit monstre. Après l'avoir nourri, aéré, calmé et endormi par de douces caresses, Stitch a fini par capituler et par me laisser rejoindre mes pénates et mon Chérichou qui avait tranquillement repris le cours de sa nuit sans plus s'inquiéter (merci pour la solidarité!). Pour une personne comme moi mi-humaine mi-marmotte, c'est un véritable coup bas de la part de mon petit compagnon à 4 pattes (et quand j'y pense de celui à 2 pattes aussi) qui venait ainsi de ruiner la douce nuit de sommeil que j'avais déjà eu du mal à entamer à cause de la chaleur (elle encore) et d'un autre petit désagrément de l'été : les moustiques! Je ne vais pas m'étaler sur ce sujet, car tout comme moi vous devez sûrement être déjà entrés en guerre contre eux. Mais pour résumer, on peut dire que la scène ressemblait sensiblement à ça (âmes sensibles s'abstenir...) :
Ca vous rappelle quelquechose???
Bref après toutes ces petites intrusions nocturnes qui ont réduit mon sommeil (qui me semble déjà en permanence bien trop court) à néant, je me pensais enfin à l'abri de tout autre trouble et prête à profiter au mieux des dernières toutes petites heures qui me séparaient de l'heure fatidique de ma sonnerie de réveil. Oui mais ô magie du cycle du sommeil, à l'heure où j'avais enfin la paix le marchand de sable était déjà bien loin, parti s'éclater en boîte peut-être, et me laissant donc abandonnée à mon triste sort et condamnée à attendre le prochain passage pour Dodo-Ville...
Bon je vous laisse, faut que j'aille essayer de rattraper mon quota d'heures en espérant que la faune environnante soit plus clémente cette nuit...
demain c'est repoooooooooooos toutes les deux sur ta terrasse... on en a tellement besoin avec nos vies de dingues...
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